mercredi 14 mai 2014

Iscomigoo vous parle ravitaillement

Iscomigoo vous parle aujourd'hui de ravitaillement.
Le ravitaillement par temps de guerre c'est important. Et qu'on se le dise, par temps de course à pied et de running également.
Quand on pense au ravitaillement, on pense à nourriture, vivres, plein de fruits et de barres de céréales (pour le running pas par temps de guerre bien sûr) enfin bref plein de choses réjouissantes.
Mais en fait le ravitaillement c'est de l'eau (gobelets remplis ou bouteilles), des quartiers d'orange et des morceaux de sucre. Ni plus ni moins.


Ah et si, il y a les gens. Eh oui, dans des courses où sont inscrits des dizaines de milliers de personnes, on n'est rarement seul. Pour tout vous avouer, Iscomigoo redoute un peu les ravitaillements car qui dit gens dit souvent perte de temps et ralentissements et grand n'importe quoi. Pendant une course, les ravitaillements c'est un peu l'enfer.

Il convient donc en premier lieu de faire attention. Vous avez des peaux d'orange partout et les peaux d'oranges amènent les glissades (oui c'est possible).
Vous avez aussi des gens qui jettent violemment leur bouteille d'eau sans prendre garde à vous derrière. Vous avez ceux qui jettent leur bouteille d'eau encore ouverte.
Il faut aussi savoir ne pas piétiner et attendre bêtement. Un peu comme une Formule1 qui attend son plein.

Comment gérer ses ravitaillements et survivre à ce bref mais intense moment ?
Pour des courses inférieures à 10 km, j'ai trouvé la solution, je ne m'arrête pas. Sauf exception (si j'ai vraiment soif ou si je me sens mal mais ce n'est jamais arrivé)
Pour le reste voici ce que j'ai appris de ma petite expérience en 20 km.

A mes premiers 20 km, folle que je suis, je ne me suis pas ravitaillée en nourriture. Sachant que je n'avais pas mangé le matin car je cours à jeun. Je n'ai bu qu'au 15ème kilomètre car j'avais très soif.

Avec le recul, ne pas me ravitailler en nourriture, fut un très mauvais choix. C'est important de savoir reconnaître ses erreurs. Ce que j'ai gagné en légèreté, je l'ai perdu en force car je me suis sentie faible vers la fin. Il faut donc éviter de sauter les ravitaillements dans les courses officielles. Et même si ce n'est pas ce que je préfère car j'ai toujours peur de me sentir l'estomac lourd, Iscomigoo se force à manger et boire un peu.

Maintenant, je bois bien au 10 ème km et au 15 ème également. Avant ça ne fait que m'alourdir. Quand je dis bien c'est que je dois prendre la moitié de 50 cl. Oui 25 cl. Je prends une bouteille que l'on me tend et comme ça je ne perds pas de temps. Je bois, je la ferme (pas comme certains) et je la jette avec attention (pas comme certains).
Pour ce qui est de la nourriture, je ramène des figues séchées dans ma poche pour éviter le coin ravitaillement. De toute manière avoir du jus d'orange partout je n'aime pas trop ça. Je ne suis pas trop partisane des gels. Mais peut-être y viendrai-je un jour. Je mange donc mes figues séchées à partir du 10 ème km et jusqu'à l'arrivée (je ne me gave pas de figues pendant 10 km hein).

Voilà. Je vais sûrement refaire pareil aux prochains. N'hésitez pas à me dire comment vous vous gérez vos ravitaillements et à me convaincre de manger (boire?) des gels.






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